Ne me quitte pas, il faut oublier. Sigue la tortura, la cárcel cerebral. Tout peut s'oublier Qui s'enfuit déjà. El odio, destrucción hacia uno mismo. Oublier le temps, des malentendus et le temps perdu a savoir comment. Las lágrimas agolpadas, el lacrimal rebosante, el arañarse la cara. Oublier les heures, qui tuaient parfois, a coups de pourquoi, le coeur du bonheur. La sangre agolpada en las mejillas, una calavera reposando, del revés, al lado tuyo. Ne me quitte pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas. No me dejes, no, no me dejes. Moi je t'offrirai des perles de pluie venues de pays où ne pleut pas. Lo daría todo, tu presencia, tus palabras, tus excusas, tus enfados. Je creuserai la terre, jusqu'après ma mort, pour couvrir ton corps d'or et de lumière. Déjame vivir, márchate, estás muy dentro, no puedo quererte, no puedo arrancarme el corazón por ti. Je ferai un domaine, où l'amour sera roi, où l'amour sera loi, où tu seras reine. O rey, o mi condicional, me estás matando, márchate. Ne me quitte pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas. Pero, por favor, no me dejes, no, no me dejes. Je t'inventerai, des mots insensés que tu comprendras. Es un sinsentido, un amargamiento, te cruzas, solemne. De ces amants-là qui ont vu deux fois leurs coeurs s'embraser. Háblame, sácame de este pretil que me encarcela. Je te raconterai l'histoire de ce roi mort de n'avoir pas pu te rencontrer. Como al rey, en su castillo, murió por no encontrarte, déjame. Ne me quitte pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas. Pero por favor, no lo hagas, no, no me dejes. On a vu souvent rejaillir le feu de l'ancient volcan qu'on croyait trop vieux. Il est paraît-il des terres brûlées donnant plus de blé qu'un meilleur avril. Et quand vient le soir pour qu'un ciel flamboie le rouge et le noir ne s'epousent-ils pas. Haz como ese abril, vuelve, abandona este mayo y aquél junio que nos separa. El cielo es rojo, negro, incoloro ante la furia. Lárgate, paso firme. Me iré yo. Te amo. Me condeno. Digiéreme. Ne me quitte pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas. Pero no me dejes, no, no me dejes. Je ne vais plus pleurer, je ne vais plus parler, je me cacherai là a te regarder. Danser et sourire, et à t'écouter, chanter et puis rire, laisse-moi devenir. L'ombre de ton ombre, l'ombre de ta main, l'ombre de ton chien. No, al igual que Brel, no lloraré, no voy a hablarte ni a pisar tu sombra, exiliaré mi corazón, lejos, donde no pueda escucharte. No puedo quererte. Ne me quitte pas, ne me quitte pas, neme quitte pas, ne me quitte pas. Pero, por favor, no me dejes. No, tú no...
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